vendredi 21 octobre 2011

Bon ça fait un moment que j'avais oublié ce blog d'une période de ma vie. J'ai beaucoup grandi et changé depuis. Mais je ne le supprime pas pour autant.


"Anonyme a dit…

Quand je pense "leeloo", j'ai toujours envie de commetre un meurtre.
D' amour, de rage, de colère, de resignation...
C'est con la vie hein? Personne ne se trouve, tout le monde se rate.
On compose en somme...
Je vais fumer à poil à ma fenetre, juste parce qu'il fait 10°, juste parce que ça me punira de t'ecrire ça, juste pour me punir de te dire VA TE FAIRE FOUTRE de ne pas t'être autorisé à ESSAYER au moins juste un peu, et simplement pour te dire que les remontées à Fourvière bourré, juste nous deux, ben ça me manque à UN POINT... sans parler du reste. L'intemporel reste.
Eh merde tiens..."

Tu m'avais touché. Puis t'as changé.

ou alors tu as juste enfin commis ce meurtre, de rage et de colère.

mercredi 28 avril 2010

Amante la moins aimante.
Elle contrôle.
Dans les moindres détails, des moindres mouvements, de la moindre proie.

Totalement supérieure, elle apprend.
Apprend avec ses erreurs, et celles de ses amants.

Elle les invente. Puis les oublie. Pendant qu'eux, la retrouvent à chaque fois.
Elle se lasse. Puis les ignore. Alors qu'ils ne l'abandonnent pas.

Elle manipule.
Leurs moindres réactions, leurs moindres gestes, leurs moindres tentatives de manipulation.

Et tout devient une obsession alors elle devient leur obsession.

Rien ne sert d'essayer.
Alors on la regarde, profondément dans les yeux.
En insistant.

'Tu es celle dont on rêve, celle qui nous séduit, celle que l'on aime.
Notre maitresse,
Celle qu'on ne veut pas avoir, pour continuer à désirer
et celle qu'on ne pourrait, de toutes manieres, jamais avoir.'

Alors elle pousse un léger cri de victoire.

Tout petit.
.
Encore plus petit.
.
Puis plus du tout.
.
Quelle odeur a l'exclusivité ?






_________________


Personne ne l'a fait changer. Elle a juste grandit.
Personne.
Et sûrement pas L.
Tout le monde s'est trompé, elle y est arrivée.
Tout le monde, s'est trompé.
Surtout L.
Elle fait des efforts, comme elle en a toujours fait.
Des efforts que L.
n'a jamais remarqué.

L. était l'origine du problème alors qu'elle ne l'était pas.

L. bascule.
L. tombe.
L. dégringolle.
L. change.

Elle te pleure L.
Elle te rit L, elle te vomit même.
Mais surtout elle t'oublie. L.

lundi 11 janvier 2010

La suite de mes phrases. Que tu n'entendras pas.


Oui je vais bien.
-Quand je ne pense pas que je suis loin de tout.-

Oui j'ai des amis géniaux ici.
-Mais les plus importants sont la bas.-

Je ne mange plus par flemme.
-Et parce que je n'y arrive plus.-

Je ne dors pas, comme d'habitude tu sais bien.
-Et parce que je ne peux plus.-

Oui je ris au téléphone.
-Pour m'empecher de t'entendre pleurer.-


Non, ne t'inquiètes pas.


" T'arrives parfois à exprimer des sentiments ? "
Oui, à peu près par écrit.








vendredi 30 octobre 2009

Mon plus grand rêve serait d'avoir tout inventer.
En attendant, j'arrive seulement à ne plus avoir mal quand j'y pense. C'est déjà bien.
J'éprouve juste de la haine et une forte envie de tuer.
Toujours.
Ce qui fait encore mal, c'est de ne pas voir été prise au serieux.
la digestion ne se fait pas, les mots étaient beaucoup trop forts pour ça.
Ils n'auraient pas du l'être.
Pas dans ces conditions là.
Pas pour ça.
Aïe Aïe Aïe, je contrôle tout, sauf ma putain de mémoire.
J'ai oublié deux ans de vie, mais pas ça.
Putain ce que mon cerveau est con.

Et putain ce que j'ai faim.
Je mangerais bien deux mc do.
Une clope et au DODO.

(et quand je dis "des festivals", j'ai toujous envie de dire "des festivaux". Ca m'enerve.)

mercredi 21 octobre 2009
















Deux mintes

Laissez moi deux minutes.

Laissez moi aller mal.

Deux minutes.

Ne pas vous écouter deux minutes.

Ne pas me solliciter deux minutes.

Le temps que j'écrive deux minutes.

Je vous demande deux minutes.

Seulement deux minutes.

Seule deux minutes.

Je vous laisse seuls deux minutes.






Loupé.






Votre exploit serait de sourire sans vous plaindre pendant deux minutes.

Le mien serait d'arriver à faire le contraire.

Je vous demande juste deux putains de minutes.

Je deviens barge à compter les secondes.



Si ca ne va pas, écrivez dans un putain de journal intime ou allez chez le psy.

Parce que la, je sature.
Je ne sais plus comment il faut que je vous rassure.




lundi 19 octobre 2009

Une putain d'envie de tout dire.
A n'importe qui.
Un passant.
Un inconnu.
Quelqu'un que je ne reverrai jamais
Mais qui écoutera.
Sans réponse.
Aucune réactions.
Tout dire vraiment.
Avec les détails les plus horribles.
Choquants, marquants.
Tout évacuer enfin vraiment.
Quelqu'un qui me croira.
Le plus dure surement.
J'ai envie de parler sans m'arrêter.
Sans oublier la moindre sensation.
J'en envie qu'on comprenne.
Qu'on ressente.
Qu'on hurle.
Qu'on souffre.
Qu'on sache.
J'aimerais souffler.
Évacuer.
On a beau sourire, tout reste enfouie.
J'aimerais que le fait de parler, libere.
Mais impossible, je le sais.
J'aimerais qu'on sache oui.
Et pourtant.
Rien que de l'écrire me me fait peur.
Sur un bout de papier, glisser dans un putain de coffre impossbile à ouvrire sans la clef que j'aurais fais fondre.
Même ça, je ne pourrais pas.
De peur justement qu'on sache.
Cercle vicieux.
Honte.
La confiance.
Pas celle qui est trahit en répétant.
Mais celle qui est présente en croyant.
Le fait d'être prise au sérieux, je n'y crois plus.
Et pourtant, je rêverai que ça arrive.
Je pense que c'est le seul moyen.

En attendant ce moment, je fume des clopes et je prends des photos.
Un passant je vous dis.
Un putain d'inconnu.

vendredi 9 octobre 2009


(ma premiere photo argentique, prise, développée et tirée par moi meme :D (bon c'etait la plus pourrie, mais les profs ont des avis bizarres parfois))

Lorsqu'elle m'a pris dans ses bras la première fois, tout en la regardant elle a prononcé les mots suivants :
c'est un tyran.
Je ne t'en veux pas.
Ne pas me dire que tu m'aimes quand je te le dis tout en m'excusant.
Ca aurait sûrement été pire.
De toutes manières tu n'as pas besoin de le dire, je le sais.
Ca sonne comme une évidence.
Mieux que ça.
Je suis désolée à en crever.
Je pleure le mal que je t'ai fais.
D'ailleurs.
Malgré tout ce que je te fais subir, ça ne changera jamais.
Je peux, au final, dissuader n'importe qui de m'aimer.
Sauf toi.
Et merci pour ça.

J'ai toujours eu en envie de te dire à quel point j'étais reconnaissante, à quel point je t'admire, à quel point tu es mon héroïne.
La plus forte.
Je m'en veux de t'avoir déçue.
T'avoir fait croire que je te détestais.
C'est comme ça.
Je suis comme ça.
Je fais l'inverse de ce que ressens.
Le contraire de ce que j'aimerais dire ou faire.
En grandissant, je m'apperçois que j'aimerais changer tout ça.
Je pense que j'ai besoin de temps.

Avoir mal.

Ca me permet de comprendre.
J'ai besoin de claques dans la gueule pour apprendre.

Une seule envie.
Que tu saches à quel point je t'aime sans avoir à te le dire.


Faire l'inverse de ce que je ressens.
Système de défense évidemment.
Je n'avais même pas remarqué.
Une personne me l'a fait comprendre.
Une seulement à compris mon fonctionnement.
J'étais à deux doigts seulement.
Je reconnais au bout d'un moment.
Je réalise.
Toujours trop tard Leel.
Toujours trop tard.
Maintenant je fais payer les autres.
Et j'en suis désolée.
Ou pas.

"Ne pas aimer. Je mords."

Merci d'avoir été la seule à m'attendre.
A rester.

A présent, je ne veux plus jamais te revoir pour ne plus jamais devoir te regarder partir.

dimanche 27 septembre 2009


(hahah ♥)


Je suis fatiguée.
Mal habillée.
Pas maquillée.
J'arrive plus à bouffer.


Je veux rester. Pour de vrai.
C'est la fin cette fois.
Celle de beaucoup de chose.
Tout est prêt.
So come along lalalalaaa ♥


j'ai envie d'crever.

samedi 26 septembre 2009

Y'a jamais tout qui rentrera dans la voiture :(

Sinon j'aimerais te dire à toi que t'es un des rares mieux.
Avec ta motocyclette de la mort et tes cheveux.
A toi : que fais aussi parti de ce clan des rares mieux et t'es TROP gentil.
Avec tes bracelets de pouf.
A toi : que je t'aime beaucoup très fort.
A toi : doux et calme comme personne.
A toi : que je t'emmerde et va te faire foutre.

A toi : je t'oublie pas et va te faire foutre mais alors très fort.
A toi : je t'ai vraiment beaucoup aimé. Et je t'aime toujours beaucoup
A toi : je veux me marier avec toi. T'es taré c'est pour ça.
A toi : t'es Le spécial.
Et à toi : tout en haut du haut du haut, t'es le meilleur parce que tu sais rire juste d'un coté et avec toi j'ai le rire le plus débile du monde. Et pourtant j'aime ça.

Bande de garçons va.

Après Demain, changement de vie.
Avec des plus et des moins.
Je suis neutre.
J'arrête pas de penser aux manques que ça va créer.
Aux photos que je ne prendrai pas.
Aux souvenirs qui n'existeront pas.


J'aime pas les Parisiens.
Ils ont l'impression que tout est grave.


Je vais continuer à donner des coups de pieds dans mes affaires pour qu'elles rapetissent.

vendredi 25 septembre 2009


























Je veux y retourner, je veux y rester, jusqu'à en crever.
Là où tu n'as plus aucune pensée.
Tout est doux, fluide et beau.

Tout est calme et puissant.

Tout est rapide et lent.

Simple surtout.

jeudi 24 septembre 2009

Toi Toi Toi.


J'avais commencé à écrire un truc.
Mais c'etait pourri.
J'ai même plus d'inspi.
Je suis juste dégoutée.
De moi.
De ne pas t'avoir assez dis que j'étais désolée.
Je pensais pas que j'étais capable de rendre triste.
"moi on ne m'aime pas"
Je pensais juste que ça se passait comme ça.
Tu m'as prouvé le contraire.
Le premier.
Je t'aime aussi, mais à ma manière.
Et encore une fois je suis désolée.
Et tu vois finalement je peux être un peu comme toi, nian nian parfois.
Mais à l'inverse de toi, je rend pas les gens heureux.
Je suis comme ça.
Et je crois que ça changera pas.
Tu métrites beaucoup mieux.
Phrase clichée. Je sais.
♥♥♥

lundi 21 septembre 2009



Merci de m'avoir refait aimer des choses que désormais j'évitais.
Comme des calins, des moments seul à seul.
Merci de ne pas avoir été comme eux.
Merci à tes yeux verts bizarres et tes faucettes.
Merci à ta douceur et ton odeur.
Tu es un mec bien.
Continue ce que tu as commencé.
♥!
Tu le fais exprès.
t'es pas con enfaite.


J'ai enfin compris une chose.
Très importante d'ailleurs.
J'ai compris que j'aimais seulement lorsque je ne pouvais pas avoir.
J'aurais du le comprendre bien avant.
Puisque l'inaccessible me rend rêveuse.
Puisque les rêves sont les plus beaux moments.
Puisque mon corps et mon esprit l'ont compris,
et ne me laissent plus éveillée.
Rêve et réalité se confondent.
J'aime ça autant que je déteste.

Passons à l'autre chose.
Celle qui m'empêche de vivre.
Celle qui ne me lâche pas.
Celle qui refuse de me laisser partir.
Rien qu'à la vue de son nom, mes tripes se nouent.
Ma gorge se bloque.

S'il te plait arrête, je suis prête.

Je réalise que c'est une bonne chose de partir finalement.
Pour un peu tout le monde.
Pour que certaines réalisent.
Pour que je manque enfin.
Pour que d'autres réfléchissent.

Enfin un grand merci.
De me faire exister.
Un peu au moins.
Et de faire que je ne pense à rien.

mercredi 16 septembre 2009


AAAAAAAAAAAH.
Je ne pense plus qu'à ça, et ça et puis ça.
Il fait froid.
Je reste emmitouflée des heures entières dans ma couette.
En oubliant de manger.
A penser.
je pars dans 12 jours.
Je suis curieuse.
Et plus que tout dégoutée.
Parisiens, vous avez plutôt intérêt à bien vous occuper de moi.

J'ai ENFIN mon anneau.







Poule, je te déteste de ne pas venir avec moi.
Mais je t'aime bien quand même.

jeudi 10 septembre 2009

Et je ne vois plus rien, je ressens seulement.
Mais je suis sûre.
Certaine même.
Je sais et comprend exactement,
mais n'admet pas.
A quoi bon après tout.

Je ne pensais simplement pas que ça allait être aussi lourd.
D'ailleurs je ne pensais plus.
Du tout.
La douleur agit.
C'est tout.

Vous savez, j'ai rêvé.
rien.
Vous savez, j'ai cauchemardé !
Toujours rien.
Ce fut un horrible cauchemard !
Silence.
Tellement que j'y pense souvent, tout le temps.

...
Voyez vous, je pleure.

Quelques kilos se font enfin la malle.
Ca devrait suffire à reprendre ma respiration.
Mais non.
Cette fois, je n'ai donc plus le choix si je veux avancer.
alors:
Tu sais ...

Voila, comme ça, un gros kilo s'en va, sans pour autant attirer la honte, la pitié et le regard.

Heureuse, enfin.
comprise, écoutée, au moins.
Grande première.
Alors grande dis.

Je souffle.

Oui mais il n'y avait pas tout dans le sac.
Alors je dis.
Vraiment.
Tout.

Pourquoi je n'y arrivais pas auparavant ?
Parce que j'avais peur.
Mais peur de quoi ?


ah ...
de ça.

Je reprend mon sac à dos plus que jamais transparent, mais pourtant très lourd et bien présent.

...

Allo Nauela ?
Ca ne va pas.
Vraiment pas.

Un jour je foutrai quelque chose de bien opaque sur ce
putain de sac.





J'écris seulement pour être capable de sourire.

Je m'en tape je suis heureuse dans ces moments là.


lundi 7 septembre 2009

5 ans que.

Tout s'est arrêté en accéléré.
Sans rien dire.

J'aimerais rester ivre et défoncée.
J'aime rire.


Pas tout en même temps, petit a petit j'ai expliqué, j'ai raconté, j'ai dis et déballé.

Enor
me Erreur.
Grosse Destruction.


Les expériences, bonnes ou mauvaises, nous aident à grandir.
J'en étais persuadée.

FOUTAISES OUAIS.CONNERIES.BALIVERNES.

Elles nous détruisent.

Elle m'a détruite.


J'attendrai encore quelques années avant d'être sûre de pouvoir raconter.

J'en ai besoin pour tout recommencer.


J'ai horreur de ne pas pouvoir contrôler la peur.











vendredi 14 août 2009

aaah

Les documentaires trop génials comme "aimer vivre en france", ou "histoires naturelles" m'avaient manqués ma race.
Du coup je suis contente.

Priez pour moi demain Hahamdallasaha








Petite baisse.
Le jour ou le drum menthole disparait, je pars avec lui. J'aime bien quand Nau est là, et j'ai plus envie de partir. J'ai peur de tout. De perdre, de marcher, de me lever, d'appeler, de vous. La flemme finira par me tuer, c'est sûr. J'ai envie d'avoir 2 ou 96 ans. Ou de contrôler mes pensées. Je veux pleins de chats.