vendredi 29 mai 2009






Et je viens seulement de me rendre compte à quel point j'étais heureuse.
Merde. C'est con.

dimanche 24 mai 2009

A vous, Chiens et Connes.*

* (là vous pouvez cliquer c'est un lien)
Je vais surtout m'adresser à vous, très chères Connes.
Vous vous plaignez toutes n'est ce pas ?
"Tous des chiens, des gros cons, des enculés, on va les buter", et j'en passe. Oui oui.
Si vous le savez si bien, pourquoi continuer à vous apitoyer sur votre sort ?

Réfléchissez.
Ils agissent par cycle, vous en avez fait l'expérience :

Cycle 1 : ils ont une proie : Vous, Connes, jolies, bien foutues, gentilles.
Ce cycle consiste à passez pour le mec le plus parfait du monde.
=> Gentil, compréhensif, attentif, unique, marrant et bla et bla.
Pas très difficile. Ils ont ça dans le sang.
Vous, Connes, vous dites : "oh ! il est si parfait, gentil, compréhensif, attentif, unique, marrant et bla et bla". Pas très difficile, vous avez ça dans le sang. (alors que c'est le 6464ème qui vous fait le coup, hum, je ne dirais rien.)
Résultat : Vous acceptez de vous laisser entrainer dans le piège.
Pendant une durée variant d'une semaine (pour les moins chanceuses) à quelques mois, tout est parfait.

Passons au cycle 2 :
Vous vous êtes fait prendre. (au piège comme par derrière.)
Littéralement baisées.
Ou est l'intérêt de continuer ?
La période du cycle 2 est assez courte. En effet, le mâle devient distant.
(conseils : pour les moins Connes : c'est à ce moment qu'il faut lâcher le truc.)
Si vous vous exécutées, fin de tout cycle. (très rare)

Sinon, passage au cycle 3 :
Le mâle devient l'opposé.
Odieux, détestable, méchant (et les plus cons, n'ont aucune peine et le sont vraiment), connard.
Le fameux CHIEN.

Alors là, Chiens, je ne vous raconte pas l'état de Conne.
Que je vous raconte ou pas, votre devoir est de vous en branler.
Ou plutôt de recommencer.
Soit avec une autre Conne, soit avec miss Pute. (En général, alterner est plus amusant).

Bref, je dis "Vous" aux Connes, car je ne me sens pas concernée.
Oui, vu que je sais comment ça se passe, je préfère m'arrêter au cycle 1. (ou en tout cas, ne retenir que celui là).
Comme, ça, mon prétendu "chien qui joue" ne l'est pas pour moi.
Il reste le Parfait.
En effet, j'ai plus vraiment, ni le temps, ni l'envie de m'apitoyer sur mon sort, sachant que ça se passe toujours de la même façon.
Je préfère consacrer mon énergie à observer.
Et à rigoler.
Essayer de trouver un "un-peu-moins-"chien"".
Ca fait passer le temps, (et beaucoup, car ils se font très rare).

Bref, en tous cas, moi je ne me plain pas.
Mes Ô nombreux prétendants ont tous été parfaits.
Et le cycle 2 et 3 n'existent pas.
Je me dis simplement que pour moi, ils ont fait une exception. Et ont été sincères.
Rigolez.
Que ça soit vrai ou pas, le résultat est que je ne pleure pas, vous oui.
Pour vous, ils sont de gros cons. Avec moi, ce sont les meilleurs.
Point.


Je me sens terriblement sexy dans mon pyjama sexy.
Et à cette heure précise, je m'aime bien.
Je trouve que j'avance, et je suis fière.
Amen.
Et en ce moment je trouve que dieu se fout un peu de la gueule du monde.
Je suis athée.

jeudi 21 mai 2009

Aujourd'hui, j'aime bien ma vie.



J'aime tellement rendre les autres heureux que j'ai toujours peur de ne pas y arriver.

Je préfère ne rien faire.
Plutôt que de tester et d'échouer.
Les autres s'en occupent mieux que moi, affaire classée.


Le piment me manque.

Tout devient fade. Plus grand chose à raconter.

A part une histoire de corbeau par ci et une autre par là.


Je déteste les gens que je suis obligée de côtoyer. Ils donnent du piment à ma vie, ça oui.

Mais du dégueulasse et bien rance.



J'ai envie de commencer ma vie.
Celle que j'attends, celle qui me donne envie.

Je veux des choses que je n'ai pas le droit d'avoir.

J'aimerais ne plus me faire oublier.
Je m'ennuie je m'ennuie et je m'ennuie.


Je veux découvrir.

Je veux être pendant une journée, une de ces péteuses, belles, riches, adorées mais détestées.

Je veux moi aussi, pouvoir me faire pardonner sous prétexte que je suis incomprise et pourrie gâtée.

Dure loi.

Je gagne seulement la fierté de ne pas m'être fais prendre par tous les chats du quartier.
J'échangerais donc, mais seulement une journée.
Je préfère ne pas être sale, merci.


Ils veulent jouer alors jouons.
On gagne à tous les coups.
La preuve, la preuve, et encore une preuve.

Je regarde et j'attends, tout en souriant.

J'ai compris.

Dure loi encore une fois.

Et j'ai tenté. Même si personne ne me croit.

Je bois du bailey avec des yeux de chats.

Je me tue petit à petit,

Mais je vous promet, que je préfère encore ça.

lundi 18 mai 2009

Cliquer pour voir les photos en grand.






















Avec Claudie dans le Pré (haha oui je me trouve drôle) et plein de soleil.



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M
aëlle, jtaime bien.
Seulement quand c'est moi qui t'appelle. Jtaime bien quand je vais mal puisque qu'importe si tu me hais tu tenteras toujours de me remontrer le moral. Maëlle, tu fermes ta gueule quand je parle, tu restes quand je te vexe. Si le contraire arrive, aucun besoin de m'excuser pour me faire pardonner. Maëlle, t'es cool. Un peu bizarre, mais cool. Habitude s'installe. Tellement d'ailleurs que lorsque tu ne me donnes pas ce dont j'ai envie, je veux seulement t'étouffer, t'égorger, te frapper, te tuer. Tu n'as plus le droit de changer.
Avec moi, tu n'as d'ailleurs droit à rien.
Je déteste quand tu ne fais pas,
J'ai horreur quand tu fais.
Maëlle j'aurais aimé que tu sois parfaite, sans prises de tête, que tu te contentes d'être belle, gentille et honnête. Je te demande toujours plus, puisque je sais inconsiemment que tu feras tout pour me satisfaire.
Je n'ai pourtant pas conscience de tes efforts. Maëlle, jouer avec toi est un réel plaisir, c'est rigolo de te faire souffrir puisque tu fais comme si t'aimais ça. J'aime bien te débousoler, ça m'évite de m'ennuier. Même si ça sert à rien car tu me feras toujours croire que ça ne t'atteind pas. Maëlle, j'ai peur et je me perds. Je ne sais plus laquelle de nous joue. Mais au final, on n'est qu'une seule, on n'est qu'un tout. Maëlle tu n'es plus celle d'avant. Tu es tout ça mais autrement. Maëlle je t'ai oublié. Je te hais. Maëlle je te laisse sur le dos, tout ce que je déteste. Tu es celle dont je ne parle jamais, celle qui ne reviendra pas. Celle dont je me suis sevrée. Tu m'aides seulement à me déculpabiliser. Maëlle si tu savais, à quel point nous sommes différentes et l'opposé. Opposées. Et à quel point une part de toi me manque. Maëlle je suis désolée d'attaquer ta putain d'innocence. Je ne sais pas si je veux que tu reviennes, je ne sais pas si je m'aime sans toi. Pourtant, t'as toujours fais parti de moi. Toi et moi, on se complete mais on ne s'entend pas.

Maëlle, je suis tout à fait consciente du rôle que je joue.
Maëlle, je calcule tout.

Surtout moi, Leeloo.

jeudi 14 mai 2009





Ok, je ne mens plus :
j'ai mal.
j'aimerais crever.

Pas tant que ça visiblement.
Puisque je reste et je me plain.
J'en ai besoin.

J'ai consacrer un an à ça.
Et ça n'a servi à rien.

La seule chose dans laquelle je me serais impliquée à fond.
Jusqu'au bout.
J'avoue que j'y ai cru.
Comme une gosse, je ne pensais plus qu'à ça.
Comme une putain de gosse qui savait.
Une putain de gosse.
C'était des conneries.
On m'a menti.

J'ai envie de chialer.
Mais pas assez.
Puisque je ne le fais pas non plus.
Je reconnais.

Je reconnais mes putains d'erreurs.
Ma pute de peur.

J'ai plus aucune envie de manger.
Mais aucune envie de maigrir.

Mon corps ne peut pourtant plus rien avaler.
Je crois que je viens de réaliser.

Tant pis je ne peux pas en vouloir qu'à moi de toutes manières.

J'ai envie de parler.
Mais je ne peux pas. Encore moins qu'avant.
J'ai envie d'hurler. Tout ce que j'ai.
Mais j'ai peur que ça fasse comme en dormant.
Je sais que je ne pourrai pas.

Je pense que bientôt je n'y arriverai plus.
J'aurais dû m'en empêcher comme je savais le faire avant.

J'ai envie de tuer.
.
J'ai envie de tuer.

Mais je pense à B.

J'ai mal, je ne mens plus.
J'ai mal à la tête à force d'essayer d'oublier.







mardi 12 mai 2009





J'ai bien réfléchis et je n'en veux plus.
Ou alors je m'en persuade
.
Ca y'est, je suis maintenant totalement persuadée.
Aidée, évidemment.
A vrai dire, je ne veux plus beaucoup de chose.
Plus de besoin. J'ai assez eu, testé et détesté.
Testée et détestée.
Besoin d'une pause.
Alors j'apprends.
Je mets un STOP sur mon jeu de rôle.
Plus l'envie et plus de temps.
Trop vite.
Je
m'emmêle. Je me rends.
And gate 22.
Ce soir, je me rend compte et vraiment, à quel point les gens changent.
Pas "qu'un peu" mais TOTALEMENT.
J'ai encore beaucoup avancé.
Grand soulagement.
Mais chagrinée.
Non je rigole.
Pour tout, pour rien, je m'en fou, je suis bien.


J'ai pitié. Pas pour moi, OH que non.
Mais j'ai faim aussi.




Mes déclarations je les fais en anglais. Nauela témoignera.
Mais putain, s'il vous plait, arrêtez de parler anglais quand vous faites des fautes.
Non la aussi je rigole.
(ou alors arrête d'écrire français si tu fais des fautes car il me semble que faire des fautes dans sa langue maternelle, craint plus sa reum que d'en faire dans une langue étrangère.)
Alors : FOR YOU :


(intro: )Nauela, I love you like a sky who are beautiful today but the pet is not here.

(déclaration: ) Oh, naouweïleï, you are too my paper of my write because you know pen my mind.
around all the round, my fingers touch your feet, and say : hey you have a god job !
Although, many feel cereal can looking for the street.
And I resay to you naouweïleï, I love you well.


Et bordel, vous me faites peur à n'avoir plus aucune reflexion.
(pour ceux qui n'auraient pas compris : j'ai fais expres de faire des fautes :D sisi)
haha

lundi 11 mai 2009



Loy, Une des Deux Meilleures depuis 19 ans

Surement la fille qui me fait le plus rire au monde.

mercredi 6 mai 2009




Je viens de dire à une assiettes délicatement posée sur l'égoutoire à coté de ses copine mais un peu en retrait :
"tiens ! toi tu te sens bien seule" (il fallait que j'en choisisse une pour mettre mes tranches de 4/4 aux nutella).
Apparement, elle se sentait pas si seule, toutes les autres devaient reposer sur elle, puisqu'elles se sont toutes cassées la gueule.
Bande de putes va.


Week end de l'amour.
Va bien. A construit un solitaire. A volé des pions en plus. Est défoncée tous les soirs. Mange du quatre quarts.