dimanche 27 septembre 2009


(hahah ♥)


Je suis fatiguée.
Mal habillée.
Pas maquillée.
J'arrive plus à bouffer.


Je veux rester. Pour de vrai.
C'est la fin cette fois.
Celle de beaucoup de chose.
Tout est prêt.
So come along lalalalaaa ♥


j'ai envie d'crever.

samedi 26 septembre 2009

Y'a jamais tout qui rentrera dans la voiture :(

Sinon j'aimerais te dire à toi que t'es un des rares mieux.
Avec ta motocyclette de la mort et tes cheveux.
A toi : que fais aussi parti de ce clan des rares mieux et t'es TROP gentil.
Avec tes bracelets de pouf.
A toi : que je t'aime beaucoup très fort.
A toi : doux et calme comme personne.
A toi : que je t'emmerde et va te faire foutre.

A toi : je t'oublie pas et va te faire foutre mais alors très fort.
A toi : je t'ai vraiment beaucoup aimé. Et je t'aime toujours beaucoup
A toi : je veux me marier avec toi. T'es taré c'est pour ça.
A toi : t'es Le spécial.
Et à toi : tout en haut du haut du haut, t'es le meilleur parce que tu sais rire juste d'un coté et avec toi j'ai le rire le plus débile du monde. Et pourtant j'aime ça.

Bande de garçons va.

Après Demain, changement de vie.
Avec des plus et des moins.
Je suis neutre.
J'arrête pas de penser aux manques que ça va créer.
Aux photos que je ne prendrai pas.
Aux souvenirs qui n'existeront pas.


J'aime pas les Parisiens.
Ils ont l'impression que tout est grave.


Je vais continuer à donner des coups de pieds dans mes affaires pour qu'elles rapetissent.

vendredi 25 septembre 2009


























Je veux y retourner, je veux y rester, jusqu'à en crever.
Là où tu n'as plus aucune pensée.
Tout est doux, fluide et beau.

Tout est calme et puissant.

Tout est rapide et lent.

Simple surtout.

jeudi 24 septembre 2009

Toi Toi Toi.


J'avais commencé à écrire un truc.
Mais c'etait pourri.
J'ai même plus d'inspi.
Je suis juste dégoutée.
De moi.
De ne pas t'avoir assez dis que j'étais désolée.
Je pensais pas que j'étais capable de rendre triste.
"moi on ne m'aime pas"
Je pensais juste que ça se passait comme ça.
Tu m'as prouvé le contraire.
Le premier.
Je t'aime aussi, mais à ma manière.
Et encore une fois je suis désolée.
Et tu vois finalement je peux être un peu comme toi, nian nian parfois.
Mais à l'inverse de toi, je rend pas les gens heureux.
Je suis comme ça.
Et je crois que ça changera pas.
Tu métrites beaucoup mieux.
Phrase clichée. Je sais.
♥♥♥

lundi 21 septembre 2009



Merci de m'avoir refait aimer des choses que désormais j'évitais.
Comme des calins, des moments seul à seul.
Merci de ne pas avoir été comme eux.
Merci à tes yeux verts bizarres et tes faucettes.
Merci à ta douceur et ton odeur.
Tu es un mec bien.
Continue ce que tu as commencé.
♥!
Tu le fais exprès.
t'es pas con enfaite.


J'ai enfin compris une chose.
Très importante d'ailleurs.
J'ai compris que j'aimais seulement lorsque je ne pouvais pas avoir.
J'aurais du le comprendre bien avant.
Puisque l'inaccessible me rend rêveuse.
Puisque les rêves sont les plus beaux moments.
Puisque mon corps et mon esprit l'ont compris,
et ne me laissent plus éveillée.
Rêve et réalité se confondent.
J'aime ça autant que je déteste.

Passons à l'autre chose.
Celle qui m'empêche de vivre.
Celle qui ne me lâche pas.
Celle qui refuse de me laisser partir.
Rien qu'à la vue de son nom, mes tripes se nouent.
Ma gorge se bloque.

S'il te plait arrête, je suis prête.

Je réalise que c'est une bonne chose de partir finalement.
Pour un peu tout le monde.
Pour que certaines réalisent.
Pour que je manque enfin.
Pour que d'autres réfléchissent.

Enfin un grand merci.
De me faire exister.
Un peu au moins.
Et de faire que je ne pense à rien.

mercredi 16 septembre 2009


AAAAAAAAAAAH.
Je ne pense plus qu'à ça, et ça et puis ça.
Il fait froid.
Je reste emmitouflée des heures entières dans ma couette.
En oubliant de manger.
A penser.
je pars dans 12 jours.
Je suis curieuse.
Et plus que tout dégoutée.
Parisiens, vous avez plutôt intérêt à bien vous occuper de moi.

J'ai ENFIN mon anneau.







Poule, je te déteste de ne pas venir avec moi.
Mais je t'aime bien quand même.

jeudi 10 septembre 2009

Et je ne vois plus rien, je ressens seulement.
Mais je suis sûre.
Certaine même.
Je sais et comprend exactement,
mais n'admet pas.
A quoi bon après tout.

Je ne pensais simplement pas que ça allait être aussi lourd.
D'ailleurs je ne pensais plus.
Du tout.
La douleur agit.
C'est tout.

Vous savez, j'ai rêvé.
rien.
Vous savez, j'ai cauchemardé !
Toujours rien.
Ce fut un horrible cauchemard !
Silence.
Tellement que j'y pense souvent, tout le temps.

...
Voyez vous, je pleure.

Quelques kilos se font enfin la malle.
Ca devrait suffire à reprendre ma respiration.
Mais non.
Cette fois, je n'ai donc plus le choix si je veux avancer.
alors:
Tu sais ...

Voila, comme ça, un gros kilo s'en va, sans pour autant attirer la honte, la pitié et le regard.

Heureuse, enfin.
comprise, écoutée, au moins.
Grande première.
Alors grande dis.

Je souffle.

Oui mais il n'y avait pas tout dans le sac.
Alors je dis.
Vraiment.
Tout.

Pourquoi je n'y arrivais pas auparavant ?
Parce que j'avais peur.
Mais peur de quoi ?


ah ...
de ça.

Je reprend mon sac à dos plus que jamais transparent, mais pourtant très lourd et bien présent.

...

Allo Nauela ?
Ca ne va pas.
Vraiment pas.

Un jour je foutrai quelque chose de bien opaque sur ce
putain de sac.





J'écris seulement pour être capable de sourire.

Je m'en tape je suis heureuse dans ces moments là.


lundi 7 septembre 2009

5 ans que.

Tout s'est arrêté en accéléré.
Sans rien dire.

J'aimerais rester ivre et défoncée.
J'aime rire.


Pas tout en même temps, petit a petit j'ai expliqué, j'ai raconté, j'ai dis et déballé.

Enor
me Erreur.
Grosse Destruction.


Les expériences, bonnes ou mauvaises, nous aident à grandir.
J'en étais persuadée.

FOUTAISES OUAIS.CONNERIES.BALIVERNES.

Elles nous détruisent.

Elle m'a détruite.


J'attendrai encore quelques années avant d'être sûre de pouvoir raconter.

J'en ai besoin pour tout recommencer.


J'ai horreur de ne pas pouvoir contrôler la peur.